The Last Goodbye [en mode gossip]

J’étais parti pour écrire 15 tweets, je me suis dit que ce serait plus simple de faire un post ici. Ce blog part vraiment dans tous les sens.

Hier soir, je suis tombé par hasard sur cette (formidable) version live de “The Last Goodbye” des Kills, postée sur Twitter.

Comme je me suis passé la vidéo en boucle, j’ai eu le temps de lire tous les commentaires sur Youtube (procrastination forever). Et les gens se demandent pourquoi Alison Mosshart semble prête à pleurer vers 1:50.

L’explication qui semble faire consensus (même si on n’en trouve aucune confirmation sur le reste des Internets) est que la chanson parle de Jack White (oui, le mec des White Stripes). Petit résumé de la chose :

  1. Au début de l’été, Jack White et Karen Elson ont divorcé. Ils ont même fait une fête pour annoncer ça, ce qui est, au choix, assez classe ou un peu barré).
  2. Karen Elson, mannequin de profession, avait sorti en 2010 un album solo, sur lequel figurait le titre “Cruel Summer”. Un morceau plutôt mauvais.

  1. Elle y raconte qu’une sorcière au cheveux noirs a ensorcelé son chéri. Vas-y, lis, c’est de la grande poésie.
  2. Alors, le petit Youtuber il cherche, dans sa tête, qui Jack White connait comme fille aux cheveux noirs susceptible de mettre en péril son foyer. On élimine directement Meg White, ils ont déjà divorcé il y a longtemps et en plus c’est sa soeur (ouais, je sais…). Il reste donc Alison Mosshart, la chanteuse des Kills mais aussi de The Dead Weather, l’autre groupe de Jack White.
  3. CQFD, c’est forcément ça, et d’ailleurs “The Last Goodbye” parle de lui et c’est parce qu’ils ne sont plus ensemble que VV pleure. Quadrature du cercle, théorème de Fermat et tutti quanti, pas la peine d’aller chercher plus loin.

Et nous, on en pense quoi ? Ben pas grand chose, si ce n’est qu’on se la ré-écouterait bien cette foutue chanson. En version guitare, pour changer.

Route du Rock 2011 : le samedi

Après un vendredi marqué par le beau temps et la prestation d’Electrelane (tu peux lire mon compte-rendu complètement objectif, pour voir comment c’était), retour au Fort de Saint-Père, sous la pluie, pour une soirée avec à l’affiche Blonde Redhead et The Kills, des habitués.

Vendredi, pas de live-tweet pour cause de réseau surchargé, samedi pas de live-tweet puisque la pluie a eu raison de mon iPhone. Tu pourras donc retrouver ici, en exclusivité mondiale, le live-tweet en différé des tweets que j’aurais essayé d’envoyer si mon iPhone s’était allumé. Je sais, ça fait rêver.

Still Corners

Une soirée à la Route du Rock, ça commence par un rituel immuable : d’abord la jambe droite acheter des jetons boisson, racheter un gobelet consigné parce qu’on a oublié de rapporter celui de la veille et faire un tour au merchandising. Un t-shirt des Kills plus tard (on ne se refait pas), Still Corners commence son concert. Les anglais de chez Sub Pop alignent les mignonnes compositions pop, avec quelques escapades plus bruyantes. C’est joli, plutôt calme et assez parfait pour un début de soirée…

Le tweet qui j’aurais essayé d’envoyer si mon iPhone avait mieux géré la pluie :
Tout va bien : la pluie est discrète et va probablement bientôt s’arrêter #rdr2011

Rattrapage : le concert de Still Corners filmé par Arte Live Web.

Low

Si le slowcore (Low fait du slowcore, mais ils ne veulent pas qu’on le dise) se caractérise par des tempos lents et des arrangements minimalistes, Low se distingue par les tempos mous et des arrangements inexistants. Retour immédiat sous la (grande) tente restauration pour se protéger de la pluie.

Le tweet qui j’aurais essayé d’envoyer si mon iPhone avait mieux géré la pluie :
Low c’est chiant comme la pluie. Je sais ce que je dis, il y a les deux en même temps, là. #rdr2011

Le truc entendu dans le public : «C’est quoi le groupe, là ? Low ? Ils portent bien leur nom.».

Rattrapage : Arte Live Web a filmé Low, et ils ont trouvé ça bien, en plus.

Cults

Avec leurs longues tignasse à faire pleurer de honte un groupe de Hard FM des années 80, Cults a le mérite d’afficher une certaine cohérence capillaire. Le quintette (les deux Cults sont accompagnés de trois musiciens) a aussi de vraies chansons hippie-pop (dont le tubesque Go Outside). Comme Electrelane la veille, ils ont l’air vraiment heureux d’être là. Ça tombe bien les gars, vous revenez quand vous voulez.

Rattrapage : c’est sur Arte Live Web, comme d’habitude, mais il va falloir patienter un peu pour que ce soit en ligne.

Blonde Redhead

Lors de leur précédent passage, en 2007, le concert de Blonde Redhead avait été interrompu par la pluie. En fait tout le festival avait été interrompu par la pluie, avec coupure d’électricité générale et public les pieds dans l’eau avec les éclairs qui tombent tout autour. Ambiance de fin du monde.

Quatre ans plus tard, le trio n’est sans doute pas dépaysé, au niveau humidité. Le public non plus, même si les nouveaux morceaux semblent plus calmes, avec moins de guitares. Les morceaux plus anciens s’enchainent toutes guitares dehors, pour le plus grand plaisir d’un Fort conquis. La soirée s’avance en tenant ses promesses.

Le morceau qu’ils ont oublié de jouer (et c’est un scandale) : Misery is a Butterfly.

Rattrapage : le concert de Blonde Redhead, c’est chez Arte Live Web, comme d’habitude.

Le camion qui pompe la flaque de boue

Le camion qui pompe la flaque de boue, au moins un truc que Rock en Seine ne nous piquera pas.

Dirty Beaches

Je ne connaissais pas Dirty Beaches avant de le voir annoncé dans la programmation du festival. La pluie aura eu raison de ma motivation, et son concert aura donc été honteusement passé au sec, sous la grande tente abritant le stand de Black Temple Food.

Rattrapage : Arte Live Web n’a pas filmé ce concert à priori…

The Kills

J’aime Les Kills. Vraiment. Beaucoup. En fait, pour te donner une idée de combien j’aime les Kills, j’ai pris une photo.

Mes disques des Kills...

Voilà, tu vois le genre.

Donc j’aime les Kills et j’attendais ce concert avec une certaine impatience. J’ai déjà pas mal vu le duo en concert, tu t’en doutes. Dans des grandes salles, dans des petites salles (sur le bord de la scène à l’Ubu à Rennes), à la Route du Rock, déjà. J’ai même fait la première partie des Kills, quand nous étions tous jeunes et que j’avais un groupe. Rock’n’roll.

Sans doute trop exigeant, j’avais été un peu déçu par leur dernier concert au Fort de Saint-Père. Surtout, j’ai vu sur Youtube des lives à la TV US où Alison était vraiment limite, niveau chant. Genre ce serait quelqu’un d’autre, je t’aurais dit qu’elle chantait faux. Comme c’est elle, on va dire «limite».

Le concert commence avec «No Wow«, exécuté vite et fort, sans surprise. Dès «Future Starts Slow» (un de mes morceaux préférés du nouvel album), tous les doutes sont levés : Alison chante parfaitement et le groupe est en forme. Le public aussi d’ailleurs et le concert est une longue trop courte montée en puissance, tout juste interrompue par un magnifique «The Last Goodbye». Ce morceau, peut-être le plus étonnant de l’album, tant il semble éloigné de ce que les Kills avaient pu faire auparavant (à part peut-être la deuxième partie de «I hate the Way You Love» sur «No Wow»), est un magnifique moment de calme avant la fin de la tempête, avec un «Fried My Little Brains», issu du premier album, dantesque.

La conclusion complètement objective : c’était génial

Le morceau qu’ils ont oublié de jouer (et c’est un scandale) : Cat Claw, mais bon, ils ne le jouent plus depuis, genre, 2007.

Rattrapage : Arte Live Web a filmé le concert des Kills, il sera bientôt disponible et tu pourras le regarder tous les matins avant d’aller bosser. Oui, il faudra te lever une heure plus tôt, mais ça vaut le sacrifice.

Battles

Comme tous les losers trempés par la pluie, nous avions déjà quitté le Fort quand Battles a commencé son set. Le temps de dégager quelques voitures coincées par la boue sur le parking (c’est pas qu’on soit très gentils, mais elles nous gênaient pour repartir) et nous entendrons les premières notes (lointaines) en fumant une cigarette dans nos vêtements secs (prévoyants, les gars). Dommage, il parait que c’était génial.

Le tweet qui j’aurais essayé d’envoyer si mon iPhone avait mieux géré la pluie :
Chaussettes sèches > everything else. #rdr2011

Route du Rock 2011 : le vendredi

Comme promis il y a quelque jours, j’ai tenté le live tweet de la première soirée de la Route du Rock. Mais, pour cause de réseau surchargé (j’imagine), tous mes tweets sont restés coincés dans l’iPhone… En exclusivité dans ce résumé de la première soirée, découvrez le live tweet en différé.

Même à l’heure, je suis en retard

Pour une fois, j’ai été un peu organisé et, ayant posé un jour de congé, je suis arrivé au Fort de Saint-Père à l’heure. Ce qui n’aura pas été suffisant pour voir le début du concert d’Anika, commencé trop vite après l’ouverture des portes, devant un public que j’imagine clairsemé. J’imagine, puisque je faisais encore la queue pour valider mon ticket, donc. Un ticket gracieusement offert par les gentils gens de Deezer, qu’ils soient ici remerciés.

Le tweet qui est passé, c’était le début de journée :
Le temps est bien sûr idéal au Fort de Saint-Père pour la Route du Rock. #commedhabitude #rdr2011

Anika

Une fois ces formalités expédiées, il me reste moins d’une demie-heure de ce premier concert. Ce qui, finalement, ne m’a pas réellement manqué. Les reprises chantées d’une voix à la limite de la justesse (fausse, donc) sur une orchestration “no-wave dépouillée” (molle, donc), ce n’est pas trop mon truc, en tout cas pas en ouverture de festival. Mais c’est parce que je suis un vieux con, moi j’aime bien les guitares. Avec distorsion.

Rattrapage : tu peux regarder le concert d’Anika, filmé par Arte Live Web

Sebadoh

De guitare et de distorsion, il est bien question avec Sebadoh. Pour le plus grand plaisir des trentenaires restés un peu bloqués dans un passé glorieux où c’était mieux avant, Sebadoh, trio guitare / basse / batterie en formation groupée (ils doivent utiliser 10% de la surface de la scène) joue comme dans les années 90. C’est le véritable début de ma soirée. Sourire jusqu’au lèvres.

Le tweet que vous avez manqué pour cause de réseau saturé :
Sebadoh, première grosse claque rock’n’roll de la Route du Rock (Anika j’ai pas adoré, donc). #rdr2011

Le truc dommage : ils n’ont pas joué Flame.

Rattrapage : le concert de Sebadoh filmé par Arte Live Web

Electrelane

D’Electrelane, j’avais à moitié raté le dernier passage à la Route du Rock (en 2007, je crois) pour cause d’arrivage en retard, comme d’habitude (si tu ne vois pas de quoi je parle, tu peux relire le début de ce post). J’en avais donc vu un gros quart d’heure, juste assez pour me dire qu’il allait falloir rattraper ça. Un plan magnifiquement tombé à l’eau, pour cause de split du groupe. Reformé, et en grande forme, Electrelane a fait un retour triomphal cette année, avec, à mon avis, le meilleur concert de la soirée (là je spoile un peu la fin de ce billet, mais bon).

Avec leur look d’anglaises sages, les quatre filles ont délivré un set sans temps morts. Malgré quelques gimmicks un peu répétitifs (les changements de tempo un peu téléphonés, par exemple), les morceaux sont parfaitement taillés pour la scène. Le groupe a l’air vraiment content d’être là, et surtout de jouer avant Mogwai (“One of our biggest inspirations”). Jusqu’à l’énorme faute de goût.

Le tweet que vous avez manqué pour cause de réseau saturé :
Énorme set d’Electrelane. Le saxophone, là, par contre, ça fait un peu trop Gerry Rafferty. #bakerstreet #rdr2011

Le concert se poursuit néanmoins superbement, avec même une reprise improbable (et réussie) de Small Town Boy de Bronski Beat (oui, oui, vraiment).

Le tweet que vous avez manqué pour cause de réseau saturé :
La reprise de Small Town Boy ! #electrelane #rdr2011 #priceless

Le concert se termine aussi beau qu’il a commencé, le public est amoureux. Mogwai va devoir assurer.

Le tweet que vous avez manqué pour cause de réseau saturé :
Electrelane : petit coeur avec les doigts. #rdr2011

Rattrapage : Arte Live Web a filmé le concert d’Electrelane, mais il n’est pas disponible, là maintenant. Mais bientôt, donc je te mets quand même le lien. Patience.

Mogwai

Le début de concert un peu mou lève quelques inquiétudes (chez moi, en tout cas). Simple retard à l’allumage, visiblement, puisque après trois au quatre morceaux, Mogwai va poursuivre son set pied au plancher. Le groupe joue moins fort que ce que certains attendaient (ou craignaient) (beaucoup moins fort qu’Aphex Twin, par exemple -deuxième spoiler), mais n’échappe pas à quelques répétitions. Oui, je sais, ça fait partie du truc. Le concert s’achève, pour moi, avec un petit goût d’inachevé. Le sentiment que ça aurait pu être encore mieux.

Le truc bien : ils ont joué Hunted by a Freak, la soirée est donc réussie.

Rattrapage : sois patient, Arte Live Web a tout filmé le concert de Mogwai, tu pourras bientôt le regarder.

Suuns

Mon petit coup de fatigue (un jour je te parlerai de mes nombreux enfants qui m’empêchent de dormir la nuit) après trois très bon concerts va un peu desservir Suuns. J’ai écouté le concert d’une oreille distraite en bavardant pendant un quart avant de me décider à aller voir de quoi il retournait vraiment. Et je ne le sais toujours pas. Parfois très (gros) rock, parfois un peu dansant, mais avec toujours une voix insupportable (oui, j’aime les jugements péremptoires). Pas mon truc donc.

Rattrapage : tu veux savoir si la fatigue m’a fait passer à côté d’un super concert ? Hop, Arte Live Web a bien sûr filmé Suuns.

Étienne Jaumet

La petite scène est une bonne idée. Dans le temps (en 1999, peut-être), c’était dans un chapiteau au fond du fort (où il y a aujourd’hui le stand Bonobo, tu vois le genre) que j’avais vu Michel Houellebecq (ouais, ouais) accompagné de Bertrand Burgalat, Eiffel et Peter Von Poehl. D’ailleurs, tu ne le sais peut-être pas, mais l’album Présence Humaine de Michel Houellebecq est un merveilleux album injustement méconnu. Là, tu te demandes pourquoi je te prends la tête avec l’autre, là, Houellebecq, au lieu de te dire comment c’était, Étienne Jaumet. À ton avis ? Parce que je n’y étais pas, c’était tout calme, je risquais l’endormissement spontané.

Le truc à noter, quand même : j’ai cru voir un saxophone, sur l’écran. Ça ferait deux dans la même soirée. La Route du Rock va mal.

Rattrapage : ah non, y a pas.

Aphex Twin

La grande inconnue de la soirée. Je connais finalement assez peu Aphex Twin. Des tubes aux clips géniaux (Windowlicker et Come to Daddy), des morceaux tous calmes aussi géniaux (Avril 14th et Nanou (face B de Windowlicker, le seul disque d’Aphex Twin jamais acheté) et quelques trucs aux rythmiques tordues (genre Bucephalus Bouncing Ball que j’avais adoré sur la BO de Pi, le premier film de Darren Aronofski).

De tout ça, il ne fut pas question. J’ai trouvé le set d’Aphex Twin bêtement bourrin, beaucoup trop fort (j’ai sorti les bouchons d’oreilles, même, tu vois). Les écrans géants en fond de scène sur lesquels sont insérés le visage grimaçant (signature d’Aphex Twin) sur les têtes des spectateurs filmés en direct, s’ils sont une bonne application des algorithmes de reconnaissance faciale, occupent dix minutes, mais il n’y pas non plus de quoi passer la soirée. Il est 3:42, le concert n’est pas fini, mais il est temps de rentrer à Rennes. La suite demain, avec les Kills (j’aime les Kills, genre beaucoup).

Rattrapage : il n’y avait malheureusement rien à rattraper dans ce set…

Pourquoi dit-on toujours que la littérature est imposée, donc indigeste, et jamais les matières scientifiques?

Cette question, posée sur Twitter par @sophierandr a lancé une discussion aux multiples ramifications.

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Promenons-nous dans les champs

Où l’on parlera plus de l’importance du nombre de champs dans les formulaires que de la Politique Agricole Commune..

J’ai récemment eu besoin de télécharger la police Museo, créée par exljbris. Cette sympathique font est, pour ses usages courants (graisses “normales”, sans italique), gratuite. Néanmoins la fonderie exljbris ne la distribue pas directement. Comme pour les versions payantes, il faut passer par un site qui vend des polices.

exljbris, dans sa grande bonté, nous donne directement les liens vers les trois sites autorisés à distribuer ses polices : MyFonts, Fontshop et Fontspring (ce dernier étant étiqueté “NEW”).

J’ai donc trois possibilités pour récupérer gratuitement ma police gratuite. Abondance de biens ne nuit pas, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Toujours prêt à soutenir les outsiders, je me rends donc, d’un pas décidé, chez Fontspring, le petit nouveau. Il s’avère rapidement qu’il ne faut pas compter sur un lien de téléchargement direct : ce n’est pas parce que la police est gratuite que je ne doit pas l’ajouter à mon panier. Aussitôt dit, aussitôt fait, et me voilà à créer un compte client, en utilisant le formulaire ad hoc. Celui-ci :

Formulaire de création de compte sur le site Fontspring
Adresse du formulaire : https://www.fontspring.com/account/signup

13 champs, plus le bouton d’inscription à la newsletter. Mon prénom, mon adresse (6 champs, alors que je vais télécharger un fichier, pas recevoir un colissimo), le nom de ma boîte et mon numéro de téléphone…
Ce n’est pas parce que c’est gratuit que je vais me fatiguer à remplir un formulaire inutile, je décide donc d’aller faire un tour chez MyFonts.

Là, même procédure. Ajout au panier, validation, formulaire de création de compte. Celui-ci :

Formulaire de création de compte sur le site MyFonts
URL du formulaire : https://new.myfonts.com/secure/newuser/

5 champs, juste ce qu’il faut pour m’identifier. Comme quoi, quand on veut.

Conclusion-pleine-de-bon-sens : si un champ n’est pas absolument nécessaire pour la suite, ne demandez pas à l’utilisateur de le remplir.

Ici, normalement, je vous pose une belle question ouverte pour encourager les commentaires en espérant que ça multiplier les visites sur mon blog. Du genre “Et vous, trouvez-vous aussi que plus les formulaires sont longs, plus vous mettez de temps à les remplir ?”. Mais j’ai pas le temps, j’ai des formulaires à remplir.

L’Art Délicat des Maquettes Fonctionnelles

The Fine Art of Wireframes

T.Scott StrombergCet article est une traduction de l’article “The Fine Art of Wireframes” publié par T. Scott Stromberg. Je le remercie chaleureusement de m’avoir autorisé à le traduire et à le publier ici.
Vous pouvez consulter l’article original sur le blog 404 User Experience Design.

Le croquis est un outil légitime pour la modélisation de l’information

En tant qu’Information Architect, je passe le plus clair de ma journée à développer des flux d’information, à créer des méthodes pour afficher du contenu, et à déterminer comment transmettre des indications de design à mes clients. L’un des mes outils les plus efficaces est le croquis : la faculté de dessiner à la main des maquettes fonctionnelles (wireframes, NdT), des widgets ou tout élément apparaissant à l’écran est une forme d’art qui vaut son pesant d’or (ou d’Euros). Un croquis doit être rapidement réalisé, facilement compris par le client et sans fioritures – on y inclus seulement les détails les plus pertinents. Il devrait aussi être réfléchi et appeler à la réflexion. Le croquis, de part sa nature manuelle, devrait aussi inviter celui qui le regarde à participer au processus de création – c’est un des aspects les plus importants du croquis. Un croquis devrait aider à établir un dialogue qui mènera à la création des maquettes finalisées, réalisées avec précision.

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CSS : Comment gérer l’élément actif d’un menu de navigation placé dans un include PHP ?

Sous ce titre pas très explicite (mais je n’ai pas trouvé mieux) se cache une vraie question que tout intégrateur web a bien dû se poser une fois…

Je n’en ai pas parlé depuis mon premier post, mais j’aime beaucoup les CSS. C’est même indiqué dans le sous-titre du blog, pour vous montrer à quel point c’est important.

Ce que j’aime beaucoup avec les CSS, c’est résoudre les petits problèmes qui ne manquent pas de se présenter lorsqu’on intègre un site et que, bizarrement, on n’avait pas envisagé au début.

On m’a soumis un des ces petits problèmes aujourd’hui, et je me propose de vous en parler, parce que c’est une situation plutôt classique. J’imagine que si vous intégrez des sites en HTML/CSS de façon régulière, vous devez déjà avoir votre méthode (n’hésitez pas à l’expliquer dans les commentaires). Cet article est donc plutôt destiné aux débutants.

Le problème

Nous avons un site avec, de haut en bas :

  • un bandeau supérieur
  • un menu de navigation horizontal
  • le reste du site, qui ne nous intéresse pas aujourd’hui

Nos deux premiers éléments (le bandeau et le menu) se répétant de page en page, ils ont été placés dans un fichier header-inc.php qui est rappelé à chaque page par la fonction PHP include. L’intérêt de cette pratique est bien sûr de ne pas avoir à répéter sur chaque page des éléments communs à toutes les pages. Ainsi, si on modifie le menu de navigation, on ne le fera qu’une fois (dans notre fichier header-inc.php, et non pas sur chaque page.

Le problème qui se pose est le suivant : comment faire pour mettre en valeur l’élément du menu correspondant à la page sur laquelle on se trouve ?.

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Il faut sauver le soldat Flash (ou pas).

Lee Brimelow, auteur de TheFlashBlog, le signalait il y a quelques jours (ici), “Get used to the blue legos”. Mais que sont donc ces légos bleus ? C’est le symbole qui s’affiche dans votre navigateur Safari quand la page contient du contenu Flash non supporté.

The Blue Lego of Despair sur iPhone

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Facebook : combien de clics ?

Un court article après une longue absence (je vous ai manqué ?) pour revenir sur un chiffre que j’ai vu passer dans la semaine, mais que je suis incapable de retrouver… Ce chiffre annonçait, si ma mémoire est bonne, un CTR de 0,035% pour la publicité sur Facebook (ce qui semble cohérent avec les informations qui circulent sur internet, , par exemple).

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Présence numérique : Google sur Twitter

Je l’ai signalé dans mon dernier post, Google a ouvert 71 comptes twitter officiels. Ces comptes concernent des services (Google Earth, Google Voice, Youtube…) ou des régions (Brésil, Russie, Corée… Mais pas la France). En fait, à peu près tout ce que fait Google.

Les bureaux de Google à Mountain View

Comme je m’intéresse à l’actualité de Google (comme tout le monde ?), je me suis empressé de me faire une liste google sur twitter qui suit ces 71 comptes (même s’il doit déjà en exister quelques dizaines). Aujourd’hui, vous avez donc la possiblité de suivre cette liste sur twitter ou bien de profiter de cette page, qui suit en direct, grâce à un widget tout fait (vous espériez quoi ?), l’actualité de Google sur twitter.

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